Face à l’essor de la technologie informatique actuel, les applications et logiciels informatiques contribuent fortement à l’amélioration de la productivité des entreprises modernes. Ces logiciels offrent des pistes de solutions plus pratiques et plus efficaces. La théorie de la « croissance endogène » mise au point par Paul Romer, Prix Nobel d'économie, soulève même que ces innovations sont une des sources de croissance pour les entreprises. D’où la nécessité du développement de logiciels pour les entreprises.
Identifier les besoins réels et choisir le meilleur partenaire fiable
La première chose à faire consiste à l’identification claire, nette et précise des besoins ainsi que des attentes en termes de logiciels applicatifs. Cette étape est très délicate, car c’est à partir de celle-ci que les projets digitaux se baseront. Les logiciels issus de ces projets permettront de concevoir les fonctionnalités et les calques réels relatifs aux attentes de l’entreprise en matière de transformation digitale. Ainsi, l’entreprise doit procéder à la réalisation d’un projet de développement informatique, ou recourir à des services de développeurs compétents. Cette dernière piste s’avère plus bénéfique en termes de coût puisque, en moyenne, faire appel aux services de développeur est 27 % plus bénéfique et plus rentable. Des développeurs compétents peuvent offrir des services de qualité et fiables en matière d’edition de logiciels applicatifs. Mais il faut opter pour un partenaire adéquat et capable de bien concrétiser vos besoins et vos attentes. Sachez que l’informatisation peut augmenter la productivité du capital de 30 à 60 %.
Impliquer les futurs utilisateurs pour escompter une bonne productivité
L’implication des futurs utilisateurs du logiciel à développer est une approche pertinente pour mieux escompter une productivité élevée. À travers cette « observation participante », les utilisateurs n’auront plus du mal à maîtriser parfaitement les logiciels applicatifs. Sachez qu’une multitude d’études en psychologie du travail ont permis de conclure qu’un nouveau processus est plus facilement assimilable par les employés s’ils sont impliqués dans la conception de l'outil. Ils peuvent participer en tant qu'initiateurs ou concepteurs.
De plus, en aval, cette implication dans l’édition de logiciels applicatifs facilitera l’insertion de la nouvelle application dans l’environnement du travail quotidien. Ce qui, en principe, augmentera la productivité marginale du travail suivant la logique du néoclassicisme économique. L’intégration de ces logiciels applicatifs dans le processus de production offre plus de performance et de compétitivité pour les entreprises qui les utilisent. Cela va emmener l’entreprise vers un accroissement de sa productivité globale. C’est le principe du rendement d’échelle.
Répondre aux besoins spécifiques et assurer une amélioration de la rentabilité globale
Nombreux logiciels applicatifs prêts à l’emploi, comme le Google Apps ou le Microsoft Office, peuvent répondre globalement aux nécessités de base des entreprises modernes. Toutefois, ils demeurent limités, surtout quand il y a des travaux qui consistent à l’optimisation des tâches relatives à des activités plus spécifiques, comme les analyses de données, la modélisation auto-régressive échelonnée, la conception 3D, la régression MIDAS, la « binarisation dummie », etc. Pour répondre à ces diverses particularités cruciales, le développement de logiciels applicatifs doit répondre aux besoins spécifiques attendus par l’entreprise. Dans cette optique, le développement d'un logiciel sur-mesure est inévitable. En effet, ces logiciels permettront d’accroître la rentabilité des investissements. Quelques études métriques révèlent même que le développement de logiciels spécifiques peut accélérer la croissance de l’entreprise de 15 à 25 %, et permet d’obtenir un score de 36:1, ce qui veut dire qu’un dollar investi génère 36 dollars de bénéfice. Ce score pourrait même atteindre le seuil de 38:1 si le développement de logiciels applicatifs est pertinent. De plus, l’amélioration du système d’informations peut encore le booster vers un score estimatif de 39:1 à 42:1.